Prisonnière de mon insomnie. Un cauchemar, rien qu’un cauchemar, des pensées qui profitent d’un instant de sommeil pour s’évader. C'est décidé : tu hurleras et tu pleureras de douleur pour des souffrances inexistantes ; tu te réveilleras sanglotant, tremblant, suffocant, étouffant presque ; dormir deviendra une phobie, une vie parallèle dont tu préféreras la mort. Cruelle nuit. Te voilà privée de repos.
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